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Le maire et lélue NPA sont rarement sur la même longueur dondes. En septembre pourtant, tous les deux avaient soutenu lappel à la votation citoyenne pour La Poste. |
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En ouverture des débats du conseil municipal lundi, Maryse Desbourdes (NPA) s’est livrée à une charge en règle à propos de la manifestation du 6 février qui avait donné lieu à interpellations et gardes à vue. « C’est une véritable provocation. La répression policière ça suffit ! Nous sommes tous indignés à gauche. Pas vous Monsieur Claeys ? Nous attendons une autre réponse que votre dernier communiqué. »
L’édile s’est fait tout aussi cinglant. « Je n’irais pas chercher conseil auprès de vos déclarations. Si je les mettais au vote, vous en seriez vous-même gênée. » Et le maire, de marbre, de relire son fameux communiqué en date d’il y a quinze jours, sans retirer une virgule.
Il avait été rédigé à l’issue d’un entretien avec Catherine Coutelle, députée, des représentants du Réseau éducation sans frontières, de la Cimade et de la Ligue des droits de l’homme. En référence aux évènements du 10 octobre le maire rappelle que « Poitiers est une ville de droit ». […] « Rien ne peut justifier ou excuser que des individus blessent notre ville. Ceux qui détruisent les biens […], ces délinquants ne défendent aucune cause et servent au contraire les intérêts de ceux qui veulent discréditer le mouvement social. Je souhaite que la Police les trouve et que la Justice passe.
Mais protecteur des biens, je le suis surtout des personnes. […] Les Poitevins ont gardé intacte cette faculté d’indignation et nous ne pouvons que nous en réjouir. La bonhomie qui marque ces rassemblements n’est pas morte le 10 octobre. »
Maryse Desbourdes aurait souhaité que le maire critique les interventions policières lors de la manifestation du 6 février. Elle est restée sur sa faim. |
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