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En ouverture des débats du conseil municipal lundi, Maryse Desbourdes (NPA) s’est livrée à une charge en règle à propos de la manifestation du 6 février qui avait donné lieu à interpellations et gardes à vue. « C’est une véritable provocation. La répression policière ça suffit ! Nous sommes tous indignés à gauche. Pas vous Monsieur Claeys ? Nous attendons une autre réponse que votre dernier communiqué. » |
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Archive de la catégorie ‘Poitiers’
Manifs : la charge de Maryse Desbourdes NR 24-02-10
Mercredi 24 février 2010Yves Jean : “ Non au fichage généralisé ” NR 24-02-10
Mercredi 24 février 2010
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Yves Jean, conseiller municipal, s’est fait le porte-parole des élus socialistes pour réagir aux « atteintes aux libertés individuelles tant à Poitiers qu’au niveau national ». |
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“ La jeunesse est notre avenir protégeons-la ! ” NR 23-02-10
Mardi 23 février 2010
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Ce week-end, le Comité poitevin contre la répression des mouvements sociaux, a adressé une lettre ouverte au maire de Poitiers. En voici quelques extraits : « Le samedi 6 février à Poitiers, à l’appel de plusieurs associations, une manifestation calme du début à la fin, pour dénoncer les pratiques illégales de la préfecture de la Vienne, et en soutien aux “ sans-papier ” […] s’est terminée par l’arrestation brutale et la garde à vue de six jeunes manifestants. Devant le tollé général, une première entrevue a eu lieu lundi 8, au soir, entre les associations organisatrices, Catherine Coutelle et Jean-Michel Clément. Elle a débouché sur un communiqué de presse commun aux deux députés. Le maire de Poitiers, seulement représenté à cette première entrevue par son directeur de cabinet, a reçu à son tour, jeudi matin, une partie des associations organisatrices et a fait une déclaration, non seulement publiée dans la presse, mais aussi largement envoyée par courrier postal et par courriel aux habitants de Poitiers et de la Cap. […] Alain Claeys demande […] de “ refuser tout amalgame ” entre la manifestation du 10 octobre et celle du 6 février. Certes, mais comment, à son tour, peut-il, en renvoyant dos à dos des dégradations matérielles et la liberté de manifester, occulter les brutalités répressives ? » […] “ Le coût humain de la répression ” « La déclaration publique du maire de Poitiers ne peut qu’envenimer les choses. Puisqu’il choisit de privilégier le matériel sur l’humain et le social, et que donc il prend fait et cause pour la police et la préfecture et pour le capitalisme, il se place d’emblée dans le camp de la répression sans chercher les causes profondes du malaise, s’ôtant, par là même, l’occasion d’agir efficacement pour protéger les plus fragiles, particulièrement les jeunes. Nous exigeons donc que le maire de Poitiers condamne fermement l’attitude irresponsable de la police et de la préfecture. Nous exigeons aussi qu’il s’intéresse au plus haut point au coût humain des déprédations de l’économie libérale et de la répression qui lui est inhérente. » |
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Les reproches du Comité poitevin à Alain Claeys CP 23-02-10
Mardi 23 février 2010
23/02/2010 04:33 | Poitiers | POITIERS | Imprimer
Les reproches du Comité poitevin à Alain Claeys
Le Comité poitevin contre la répression des mouvements sociaux a adressé au maire de Poitiers Alain Claeys une lettre ouverte à propos de sa position sur les mouvements sociaux poitevins et les heurts avec les forces de police et sur la publication d’un communiqué de presse dont Centre Presse s’est fait l’écho. Selon les signataires, ce communiqué ne reflète pas ce qui s’est dit au cours d’une réunion entre le maire et des associations. « De l’avis de tous les participants à cette seconde réunion, les propos de la déclaration publique du maire ne correspondent pas à ce qui s’est dit jeudi matin. Selon eux, la discussion a essentiellement tourné autour du rôle de la police et de son Directeur départemental lors de la manifestation de samedi dernier. Or, cela n’apparaît pas ? sauf sous forme de deux vagues allusions ? dans le communiqué final. »
Le matériel ou l’humain
D’autre part, le Comité poitevin contre la répression des mouvements sociaux reproche au maire de privilégier le matériel à l’humain. « Alain Claeys demande, on aimerait bien savoir à qui d’ailleurs, de refuser tout amalgame entre la manifestation du 10 octobre (N.D.L.R.: vitrines saccagées et murs tagués) et celle du 6 février (N.D.L.R.: manifestation pour les sans-papiers). Certes, mais comment, à son tour, peut-il, en renvoyant dos à dos des dégradations matérielles et la liberté de manifester, occulter les brutalités répressives? »
Alain Claeys n’a pas souhaité commenter ce courrier. Le maire de Poitiers a toutefois précisé qu’il ne changeait ni un mot ni une virgule à son communiqué.
Jean-François MINOT
Vague de tags insultants dans la nuit CP 23-02-10
Mardi 23 février 201023/02/2010 10:03 | Vienne | POITIERS | Imprimer
Vague de tags insultants dans la nuit
Les services techniques effaçaient les tags ce matin sur la mairie.
Emmanuel Coupaye
Le centre ville de Poitiers a été couvert de tags insultants au cours de la nuit. Des tags tracés à la peinture rouge et qui s’en prenent surtout à la police et à son directeur, ainsi qu’à la brigade anti-criminalité. Le maire de Poitiers est aussi visé. Plusieurs tags, déjà effacés, ont été tracés sur les murs de la mairie. Le commissariat a aussi été visé. D’autres tags s’en prenent aux banques, le tribunal de grande instance aussi été touché. Les patrouillles de police sillonnent le plateau, ce matin, pour recenser les inscriptions.
Un débat citoyen contre les risques du fichage NR 21-02-10
Dimanche 21 février 2010
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A trois jours du procès de deux militantes poitevines ayant refusé un prélèvement ADN, un débat et des concerts étaient organisés hier à Poitiers.
C ‘est en 1953 qu’a été découverte la structure en double hélice de l’ADN ou acide désoxyribonucléique, rappelle Jean, en préambule du débat sur le fichage organisé à la Maison du Peuple de Poitiers. Et le jeune militant, qui a visiblement bien révisé le sujet, de poursuivre : « Aujourd’hui, le Fichier national automatisé des empreintes génétiques – le Fnaeg – comporte plus d’un million et demi de profils ADN. Depuis sa création par le PS, quand Élisabeth Guigou était Garde des Sceaux, puis sa généralisation par un autre socialiste, Daniel Vaillant, en 2002, le fichage s’est élargi aux simples “ atteintes aux biens ” et le refus de prélèvement est désormais passible d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende ! En revanche, les auteurs de délits financiers et d’abus de biens sociaux échappent mystérieusement au fichage… »
Durant un bon quart d’heure, passant du « livret ouvrier » imaginé par Napoléon à la carte d’identité nationale mise en place sous le régime de Vichy, Jean a ainsi posé les bases du débat sur le fichage devant la quarantaine de personnes qui avaient osé pousser la porte de la salle Timbaud, en ce calme samedi après-midi de fin de vacances scolaires.
La parole est ensuite revenue à Sarah, co-organisatrice de cette journée qui est directement concernée par le sujet puisqu’elle doit comparaître mardi prochain devant le tribunal correctionnel de Poitiers.
“ C’est un combat global ”
Le 10 octobre dernier, en marge des événements violents ayant secoué le centre-ville, l’étudiante avait refusé de se soumettre à un prélèvement de son ADN, tout comme son amie Angel qui comparaîtra le même jour. « On a choisi cette date du 20 février, parce qu’elle s’insère entre le rendu d’appel de cinq des 18 interpellés du 10 octobre (N.D.L.R. : lire notre édition d’hier) et le procès de mardi, explique la jeune fille. C’est une façon de montrer que nous ne sommes pas les seules concernées. C’est un combat global : sur Poitiers, presque tous les militants sont touchés par la répression abusive. »
Le débat qui a suivi s’est finalement élargi aux rapports entre science et pouvoir, avant que les participants ne migrent vers la Maison de la Gibauderie où un repas convivial et cinq groupes de rock les attendaient. Histoire, comme le dit Sarah, de mettre « un peu de divertissement dans la lutte ».Laurent Favreuille
la phrase : « Je n’ai pas connaissance de banques qui auraient dénoncé des sans-papiers à Poitiers. » NR 20-02-10
Samedi 20 février 2010
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Mercredi, à Paris, quatre personnes ont été mises en examen (notre édition de mercredi) dans le cadre d’une enquête sur des dégradations commises à l’encontre de distributeurs automatiques de billets dans la capitale, mais aussi à Lille ou Poitiers. La semaine dernière, à Poitiers, une quinzaine de DAB ont ainsi été dégradés à l’aide d’un produit corrosif. Les quatre personnes suspectées auraient expliqué, selon des sources proches de l’enquête, avoir visé des établissements bancaires qui dénonceraient les sans-papiers. |
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Quinze distributeurs de billets sabotés NR-CP 18-02-10
Jeudi 18 février 2010
18/02/2010 10:17 | Justice – Faits Divers | POITIERS | Imprimer
Quinze distributeurs de billets sabotés
Un liquide corrosif a été introduit dans la fente
des distributeurs, détruisant ainsi tout le mécanisme
de quinze appareils à Poitiers.
Les faits se sont déroulés dans la nuit du 9 au 10 février à Poitiers. Quinze distributeurs automatiques de billets (DAB) ont été sabotés. Un liquide a été introduit par la fente où l’on introduit d’ordinaire la carte bancaire. Ce liquide est actuellement en cours d’analyse dans les laboratoires de la police scientifique, mais on sait d’ores-et-déjà qu’il est corrosif et qu’il a détruit le mécanisme des distributeurs. Préjudice estimé: entre 2.000€ et 3.000€ par DAB.
A Paris, Grenoble, Lille…
Ces actes s’inscrivent dans une série de dégradations de distributeurs de billets constatées dans plusieurs villes de France: Paris, Grenoble, Lille, Poitiers… Hier, quatre personnes soupçonnées d’avoir dégradé à Paris des distributeurs automatiques de billets ont été déférées au parquet de Paris. Une information judiciaire, confiée à un juge d’instruction, pour « dégradations et destructions de biens en réunion » et « destructions de biens par substance explosive et incendie ». Il a requis le placement sous contrôle judiciaire de ces quatre personnes. Elles sont soupçonnées d’avoir dégradé plusieurs dizaines de DAB à l’aide d’acide, d’autocollants, de feux de poubelle ou à coups de barres de fer.
Pour dénoncer l’attitude des banques
Selon une source proche de l’enquête, ces personnes auraient dégradé les DAB pour dénoncer l’attitude des banques, notamment à l’égard des sans-papiers. Si d’ores-et-déjà, certains soupçonnent des actes des militants de « l’ultra-gauche », le parquet de Poitiers signale que pour les 15 distributeurs sabotés, « une enquête est en cours et personne n’a été identifié. »
Bruno DELION
Rendu d’appel du 14 janvier : 19 février – Débat et concert de soutien : 20 février – Procès pour refus de prélèvement ADN : 23 février
Mardi 16 février 2010Suite au 10 octobre, les procès et la pression policière continuent à Poitiers.
Une journée débat/concert de soutien est organisée le samedi 20 février 2010.
Cette date n’a pas été choisie au hasard. En effet, le 19 février le rendu d’appel pour 5 des 18 interpellé-e-s aura lieu --> le rendez vous est a 9h au tribunal.
Et 4 jours plus tard (le 23 février) le procès de 2 militantes poursuivies pour avoir refusé de donner leur ADN (et ses empreintes et sa photo pour l’une d’entre elles) aura lieu --> le rendez vous est a 16h devant le tribunal.
Le samedi 20 février a donc pour sujet le fichage… A 15 heures dans la salle Timbaut de la maison du Peuple (21 bis rue Arsène Orillard ; entrée par la rue Saint Paul), aura lieu un débat à ce propos, suivi d’un repas convivial et d’un concert à partir de 19h à la maison de la Gibauderie (111 rue de la Gibauderie)
Avec à l’affiche :
Puta Guerrilla (Punk/Paris)
S.I.C (Metal/Poitiers)
Black Cat (Punk Rock/Poitiers)
Le Père Duchesne et les Petits Cons Masqués (Punk Folk/Poitiers)
Les Volcalchimistes (Hip Hop/Poitiers)
La pétition contre le prélèvement ADN, qui a déjà recueilli 261 Signatures, est toujours en ligne sur http://antirep.free.fr/adn/spip.php?article1 , si vous ne l’avez pas déjà fait, merci de la signer et de la faire signer autour de vous.
“ La police harcèle les jeunes militants ” NR 16-02-10
Mardi 16 février 2010
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// http://antirep86.free.fr |
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